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Au terme de leur visite d’État au Chili, où divers hommages historiques, rencontres politiques et focus sur la coopération en soins pédiatriques pour enfants brûlés, le Roi, la Reine, l’ensemble des ministres et la délégation en visite d’État ont pris place dans l’avion qui devait les ramener dans notre incroyable royaume.
Malheureusement, un problème technique est survenu au niveau du tracteur de piste, empêchant leur retour à la date prévue, soit ce jeudi 26 juin. Le véhicule problématique a pour but de remorquer les avions hors des aires de stationnement, en vue du décollage. Un pneu de l’avion a mêmê été endommagé par ce véhicule
Cependant, une certification pour autoriser le départ de l’appareil se fait encore attendre.
Des problèmes à l’aller et au retour
« Après être sortis de l’avion, on a attendu 2h30 dans une salle, puis on nous a annoncé qu’on ne partirait pas aujourd’hui [jeudi] », a indiqué un journaliste de Sudinfo présent sur place. « Tous ont finalement été reconduits à l’hôtel pour y passer la nuit, dans l’attente d’une mise à jour prévue vendredi matin à 9h (16h en Belgique). »
Mais ce désagrément n’est pas le premier qu’ont rencontré le roi Philippe et la reine Mathilde durant leur visite d’État au Chili. À l’allée aussi, le projet de vol initial a été perturbé par un problème technique au niveau de l’appareil. L’avion avait décollé avec 24 heures de retard, bouleversant le programme officiel.
« En 24 ans de visites d’État avec le roi Albert et le roi Philippe, je n’avais jamais vécu cela : un aller avec un jour de retard pour problème technique et un retour avec sans doute un autre jour de retard pour cette histoire de tracteur qui endommage un pneu », a poursuivi le journaliste de Sudinfo.
Un retard pris avec philosophie
Ce désagrément ne semble pas avoir fortement perturbé le couple royal, du moins le roi Philippe. Il a en effet profité de la soirée pour se détendre : « Quand je suis arrivé au restaurant de l’hôtel, vers 22h heure chilienne, le roi buvait un verre de vin rouge à la table de Maxime Prévot et de Rudi Vervoort. »
